Au XXe siècle, les premiers chemins des précurseurs étaient au mieux des chemins ruraux ou des sentiers de randonnée.
Soucieux de sécurité et de confort pour les pèlerins, les aménageurs tendent à créer des chemins qui ont pu être qualifiés  » autoroutes à pèlerins « .

Il apparaît régulièrement de nouveaux chemins. Il y a les variantes des quatre principaux chemins français, dits historiques parce qu’ils sont br!èvement décrits dans le dernier Livre du Codex Calixtinus, devenu le Guide du pèlerin, des itinéraires secondaires, des bretelles de raccordement aux itinéraires venant de l’étranger. En Bretagne, située en dehors du champ des itinéraires principaux un réseau breton a été créé. Ces chemins ne concernent l’IRJ qu’en fonction de leur portée historique et patrimoniale.
Autant il est clair que tout patrimoine Saint-Jacques n’a pas forcément un lien avec Compostelle ni ne balise un chemin historique, autant il est intéressant de s’appuyer sur eux pour tracer des chemins contemporains et de signaler leur présence. Chaque élément de patrimoine jacquaire est un signe de dévotion à saint Jacques.