La création artistique au long des chemins de Compostelle a été encouragée par le Conseil de l’Europe lorsqu’il a défini ces chemins comme premier Itinéraire Culturel Européen. L’exploitation commerciale de l’engouement pour Compostelle par des promoteurs peu scrupuleux auprès d’organismes politiques ou administratifs incompétents a conduit à l’éclosion d’un grand nombre d’oeuvres dans une importante surenchère de ronds-points, statues ou compositions diverses.